
LE CHIENCHIEN DES BABASKERVILLE
CIE LA ROUILLE
Dans un univers farfelu à la sauce Sherlock Holmes à la fête foraine, Nicolas Turon et Fabrice Bez ressuscitent les délirants SH et Trévor de leur précédent spectacle, Son dernier coup d’archet, pour Le Chienchien des Babaskerville, une parodie loufoque de l’histoire du célèbre (et terrifiant) molosse de Sir Arthur Conan Doyle. Une adaptation libre (!), immersive et interactive, où vous, cher public, aurez pour mission de mener l’enquête avec les deux trublions, entre lande brumeuse et inventions absurdes, folie douce et génie théâtral. Car pas de mémère pour ce chienchien-là : plutôt une machinerie infernale mêlée d’une pincée de cabane à freaks, d’un zeste de pipe à bulles, et d’une grosse louche de prodige loufoque. Élémentaire, mon cher Trévor !
La compagnie La Rouille, c’est un Nautilus poétique de la street propulsé à la vapeur de barbe à papa et au gaz de réverbères, avec à sa barre deux capitaines un brin fêlés : l’inégalable Nicolas Turon et son acolyte Fabrice Bez. Entre récits déjantés et mondes parallèles rétrofuturistes, ce fantastique duo ravive l’imaginaire du siècle dernier à coups de créations foutraques, sublimes et scéniques hantées par les esprits de Jules Verne et Georges Méliès. Du pur théâtre de rue !
Idée originale, écriture et jeu : Nicolas Turon. Composition et musique : Fabrice Bez. Scénographie, bidouille, régie, son et lumière : Gautier Colin. Dramaturge : Isabelle Chevalier. Infographie : Hélène Colotte. Costumes : Laure Hyeronimus. Production et diffusion : Julie Bloch. Soutien : Nous-Mêmes, la ville de Brissac-Loire-Aubane (49) / L’U4 d’Uckange (57) / La Halle verrière de Meisenthal (57).
